Étudier et profiter en même temps de la vie, la vraie. Ces deux activités semblent incompatibles et pourtant, StudyEnjoy parvient à les rabibocher via un système collaboratif d’échange de logements étudiants. Des échanges non-réciproques qui amplifient l’effet de communauté et qui permettent surtout aux étudiants et aux jeunes actifs de réaliser des économies importantes. Économiser et s’entraider : l’économie collaborative gagne sur les deux tableaux.
1 euro par jour. Voici le coup dérisoire d’utilisation de StudyEnjoy, qui permet d’échanger son logement étudiant avec d’autres membres éparpillés partout dans le monde. Le système continue de tourner puisque, par exemple, Isabelle va en Espagne chez David qui se rend en Italie dans le studio d’Andrea, présente quant à elle chez Isabelle. Un circuit collaboratif qui a fait naître une communauté solidaire pour qui l’entraide est un pilier et qui a foi en l’économie collaborative.
Il suffit donc d’1 euro par jour, en continuant à payer bien entendu le logement initial, pour que cet engrenage collectif continue de bénéficier à de nombreux étudiants, qu’ils souhaitent trouver un endroit où dormir avant de passer des concours importants ou leur nouveau nid douillet pendant trois mois d’immersion en Afrique du Sud. Les économies sont réelles, quantifiées et salvatrices quand on sait qu’en moyenne, 55% du budget des étudiants passe dans le loyer.
Une plateforme internationalisée, collaborative et sécurisée pour les logements étudiants
S’inscrire sur StudyEnjoy ouvre la porte à la consommation collaborative et la recherche réussie d’un logement étudiant conforme aux attentes. Solidarité, partage, entraide comme valeurs clés, cela ne vous rappelle pas quelque chose ? Et si : on est en plein dans l’économie collaborative, celle qui apporte de nouvelles solutions aux problèmes récurrents, comme celui du logement pour les étudiants.
Basé à Nantes, StudyEnjoy a pour but de réconcilier vie sociale, réussite et logement habitable par les étudiants. Le système représente un gain doublé, d’argent et de temps puisqu’il vise à limiter « l’obligation » de passer par un petit boulot pour joindre les deux bouts. Un surplus de sérénité aussi conséquent n’est jamais négligeable.
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